Ce vendredi 13 janvier, j’intervenais au Sénat, dans le cadre de l’examen et du vote de la résolution relative aux droits et au bien-être de la « génération confinement » dans la société post-covid, pour rappeler l’importance d’œuvrer à tous les niveaux de pouvoir à l’épanouissement et à la santé mentale de nos concitoyen.ne.s, en particulier des jeunes, qui sont les adultes de demain.
Parmi les conséquences de la pandémie de Covid-19 et des mesures sanitaires qui ont suivi, c’est la santé mentale des jeunes qui a été particulièrement mise à mal: dégradation de la situation financière, absence ou manque de contacts physiques, sentiment d’isolement, perte de confiance, décroche scolaire, incertitudes pour l’avenir, violences intrafamiliales, …
Selon Statbel, 63,1% des 16-24 ans font état d’un impact négatif des mesures sanitaires sur la santé mentale des jeunes, contre 43 % des plus de 75 ans.
Des constats partagés par plusieurs experts.e.s que nous avons auditionnés en commission du Renouveau démocratique au Sénat.
Voici quelques unes des recommandations adressées aux différents gouvernements des entités fédérées :



En effectuant ce travail au Sénat, même si les mesures sanitaires ne sont plus d’actualités, nous faisons en sorte de protéger davantage la santé mentale des jeunes.
Sans conteste, nous assurerons un suivi rigoureux de ces recommandations au sein des différentes assemblées parlementaires.